« Bienvenu Chez "OLAV Véritable Brasseur Américain" » : différence entre les versions

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Le brouillard sombre enveloppait les ruelles de Washington et le vent cinglant giflait et glaçait les entrailles des voyageurs en recherche d'abri. Karl Olavbrecht resserra son pardessus de cuir noir et tourna à l'angle de Gladeburry Road. Il leva la tête un instant, le regard fixé vers l'enseigne rutilante du comptoir fraichement peinte: "Chez OLAV".
Le brouillard sombre enveloppait les ruelles de Washington et le vent cinglant giflait et glaçait les entrailles des voyageurs en recherche d'abri. Karl Olavbrecht resserra son pardessus de cuir noir et tourna à l'angle de Gladeburry Road. Il leva la tête un instant, le regard fixé vers l'enseigne rutilante du comptoir fraichement peinte: "Chez OLAV".


Il oublia l'espace d'un instant son passé sombre et, le regard emprunt d'un léger sourire en regardant les écritures peintes, ses débuts aux Amériques.
Il oublia l'espace d'un instant, le regard emprunt d'un léger sourire en regardant les écritures peintes, ses débuts. Elles étaient loin les ruelles crasseuses et miséreuses hongroises qu'il avait connu. Son errance jusqu'en France et son ancienne vie passée a quémander du pain et de l 'eau pour vivre. Oublier ses innombrables quêtes en tant que chasseur de primes a la solde d'une confrérie dont il ne voulait plus entendre parler ni même côtoyer. Son départ vers les Amériques l’éloignerait de ces êtres dangereux et couperait une bonne fois pour toutes avec ses anciennes activités et son ancienne vie.


Elles étaient loin les ruelles crasseuses et miséreuses hongroises qu'il avait connu. Son errance jusqu'en France et son ancienne vie passée a quémander du pain et de l 'eau pour vivre. Oublier ses innombrables quêtes en tant que chasseur de primes a la solde d'une confrérie dont il ne voulait plus entendre parler ni même côtoyer. Son départ vers les Amériques l’éloignerait de ces êtres dangereux et couperait une bonne fois pour toutes avec ses anciennes activités et son ancienne vie.
Olav ne voulait se souvenir que d'une seule chose à présent, son long et harassant voyage a travers le vaste océan atlantique sous bannière commerciale Française, son arrivée et son débarquement au port de Vicksburg. Il avait débarqué bien avant le blocus commercial promulgué le président LINCOLN. Armé de quelques valises et de ses économies plus ou moins bien acquises mais déterminé a trouver la fortune qu'il lui était due.


Olav ne voulait se souvenir que d'une seule chose à présent, son long et harassant voyage a travers le vaste océan atlantique sous bannière commerciale Française, son arrivée et son débarquement au port de Vicksburg. Il avait débarqué bien avant le blocus commercial promulgué le président LINCOLN. Armé de quelques valises et de ses économies plus ou moins bien acquises mais déterminé a trouver la fortune qu'il lui était dûe.
Les années avaient passées, faites de labeur et d'entreprenariats fructueux avec la montée des prospecteurs d'or. Quelques spéculations et connaissances en commerce lui avaient bien profité et permis de s'offrir sa première échoppe.

Les années avaient passées, faites de labeur et d'entrepreneuriat fructueux avec la montée des prospecteurs d'or. Quelques spéculations et connaissances en commerce lui avaient bien profité et permis de s'offrir sa première échoppe.


En quelques années, Olav était maintenant à la tête d'une vaste chaine de saloon à travers le pays et ce dernier établissement dans les ruelles de Washington devait être l'accomplissement de son entreprenariat.
En quelques années, Olav était maintenant à la tête d'une vaste chaine de saloon à travers le pays et ce dernier établissement dans les ruelles de Washington devait être l'accomplissement de son entreprenariat.


Olav passa la porte du saloon. Il inspecta d'un œil avisé l'entraineuse et chanteuse Mariela proche du piano bar, Le comptoir et son barman aux affaires. Tout était en place. Les tables de poker du fond de salle étaient bien disposées et assez mises en arrière mais assez éclairées et tamisées pour laisser place aux plus grands joueurs de la cote Est.
Olav passa la porte du saloon. Il inspecta d'un œil avisé l'entraîneuse et chanteuse Mariela proche du piano bar, Le comptoir et son barman aux affaires. Tout était en place. Les tables de poker du fond de salle étaient bien disposées et assez mises en arrière, assez éclairées et tamisées pour laisser place aux plus grands joueurs de la cote Est.


En fait, son système n'était pas si stupide que ça... cela lui demandait du temps et de la présence, des jours de train et un peu de présence dans chacun de ses établissements pour dire qu'Olav lui même servait chez lui.
En fait, son système n'était pas si stupide que ça... cela lui demandait du temps et de la présence, des jours de train et un peu de présence dans chacun de ses établissements pour dire qu'Olav lui même servait chez lui.
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Olav mit tranquillement son tablier blanc, se tourna vers le pianiste.
Olav mit tranquillement son tablier blanc, se tourna vers le pianiste.


"Bernardo, lance la musique on ouvre la boutique !!! Lances nous un air entrainant pour rameuter la clientèle !!! Mariella accompagnes le, je veux que le saloon soit plein pour son jour d'ouverture !!! Je ne vous paye pas à me regarder essuyer les verres !!! Allez allez !!! bougez vos fesses !!! je veux que les thunes coulent à flot en même temps que la cargaison de whisky que j'ai acheté !!!"
"Bernardo, lance la musique on ouvre la boutique !!! Lances nous un air entrainant pour rameuter la clientèle !!! Mariella accompagnes le, je veux que le saloon soit plein pour son jour d'ouverture !!! Je ne vous paye pas à me regarder essuyer les verres !!! Allez allez !!! bougez vos fesses !!! je veux que les thunes coulent à flot en même temps que la cargaison de whisky et les alcools locaux que j'ai acheté un prix d'or !!!"


La musique lancée il ne fallut pas longtemps avant de voir débarquer les premiers client pousser les portes battantes de chêne massif du saloon.
La musique lancée il ne fallut pas longtemps avant de voir débarquer les premiers clients pousser les portes battantes de chêne massif du saloon.


"Bienvenu Messieurs chez Olav, qu est ce que je vous sers messieurs ? Mettez vous à l'aise !!!"
"Bienvenu Messieurs chez Olav!!! Qu'est ce que je vous sers messieurs ? Mettez vous à l'aise !!!"

Dernière version du 29 août 2024 à 20:41

Olav.jpg

Le brouillard sombre enveloppait les ruelles de Washington et le vent cinglant giflait et glaçait les entrailles des voyageurs en recherche d'abri. Karl Olavbrecht resserra son pardessus de cuir noir et tourna à l'angle de Gladeburry Road. Il leva la tête un instant, le regard fixé vers l'enseigne rutilante du comptoir fraichement peinte: "Chez OLAV".

Il oublia l'espace d'un instant son passé sombre et, le regard emprunt d'un léger sourire en regardant les écritures peintes, ses débuts aux Amériques.

Elles étaient loin les ruelles crasseuses et miséreuses hongroises qu'il avait connu. Son errance jusqu'en France et son ancienne vie passée a quémander du pain et de l 'eau pour vivre. Oublier ses innombrables quêtes en tant que chasseur de primes a la solde d'une confrérie dont il ne voulait plus entendre parler ni même côtoyer. Son départ vers les Amériques l’éloignerait de ces êtres dangereux et couperait une bonne fois pour toutes avec ses anciennes activités et son ancienne vie.

Olav ne voulait se souvenir que d'une seule chose à présent, son long et harassant voyage a travers le vaste océan atlantique sous bannière commerciale Française, son arrivée et son débarquement au port de Vicksburg. Il avait débarqué bien avant le blocus commercial promulgué le président LINCOLN. Armé de quelques valises et de ses économies plus ou moins bien acquises mais déterminé a trouver la fortune qu'il lui était dûe.

Les années avaient passées, faites de labeur et d'entrepreneuriat fructueux avec la montée des prospecteurs d'or. Quelques spéculations et connaissances en commerce lui avaient bien profité et permis de s'offrir sa première échoppe.

En quelques années, Olav était maintenant à la tête d'une vaste chaine de saloon à travers le pays et ce dernier établissement dans les ruelles de Washington devait être l'accomplissement de son entreprenariat.

Olav passa la porte du saloon. Il inspecta d'un œil avisé l'entraîneuse et chanteuse Mariela proche du piano bar, Le comptoir et son barman aux affaires. Tout était en place. Les tables de poker du fond de salle étaient bien disposées et assez mises en arrière, assez éclairées et tamisées pour laisser place aux plus grands joueurs de la cote Est.

En fait, son système n'était pas si stupide que ça... cela lui demandait du temps et de la présence, des jours de train et un peu de présence dans chacun de ses établissements pour dire qu'Olav lui même servait chez lui.

Olav mit tranquillement son tablier blanc, se tourna vers le pianiste.

"Bernardo, lance la musique on ouvre la boutique !!! Lances nous un air entrainant pour rameuter la clientèle !!! Mariella accompagnes le, je veux que le saloon soit plein pour son jour d'ouverture !!! Je ne vous paye pas à me regarder essuyer les verres !!! Allez allez !!! bougez vos fesses !!! je veux que les thunes coulent à flot en même temps que la cargaison de whisky et les alcools locaux que j'ai acheté un prix d'or !!!"

La musique lancée il ne fallut pas longtemps avant de voir débarquer les premiers clients pousser les portes battantes de chêne massif du saloon.

"Bienvenu Messieurs chez Olav!!! Qu'est ce que je vous sers messieurs ? Mettez vous à l'aise !!!"